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Bonjour et bienvenue sur mon blog.
Je suis une jeune maman de 25 ans.J'ai une petite fille de 19 mois et je suis enceinte de bébé2.Je ne sais pas encore si c'est une fille ou un garçon.
J'ai décider de créer ce blog afin de regrouper toutes les informations que l'on peut recherche en tant que future ou déja maman (ou papa!!!).
N'hésitez pas à me laisser un petit mot sur mon livre d'or pour me dire ce que vous pensez de mon blog et pour me donner vos idées d'articles.
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Le déni de grossesse se définit comme le fait pour une femme enceinte de ne pas avoir conscience de l’être. Faute de cette conscience, le ventre ne grossit pas et la grossesse passe généralement inaperçue de l'entourage. La femme ne prête pas attention aux mouvements du bébé. L’aménorrhée caractéristique de la grossesse peut même faire défaut.<o:p></o:p>
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L’enfant, qui pèse presque toujours un poids classique à la naissance, se loge en fait en position debout, dans un utérus resté à la verticale, près de la colonne vertébrale. Au moment de l’annonce du déni par le médecin et la prise de conscience par la femme qu’elle est bien enceinte, son corps peut alors se transformer en un temps record.<o:p></o:p>
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Les études sur le sujet font état d'un cas pour 300 à 600 grossesses.<o:p></o:p>
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Loin d'être issues de milieux défavorisés, d'être déficientes intellectuellement ou de présenter des troubles psychiatriques, les femmes concernées sont d'une "normalité" désarmante, ce qui rend le phénomène encore plus troublant.<o:p></o:p>
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Les causes en sont multiples. Toutes les couches sociales sont concernées. Les mères concernées peuvent avoir déjà eu des enfants.<o:p></o:p>
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Aucune statistique n'existe pour les conséquences médicales sur le bébé, mais on considère que celles-ci dépendent de la durée du déni. Quand le déni dure jusqu'au terme de la grossesse, l'accouchement est un choc pour la mère qui n'a pas pu se préparer psychologiquement à l'accueil de l'enfant. Un certain temps peut être nécessaire avant que l'enfant soit complètement accepté par la mère. Des morts de nouveau-né ont pu survenir.
Actuellement, il n’est pas considéré comme une pathologie mais comme un symptôme qui vient toucher une souffrance psychique enfouie dans l’inconscience de la personne.
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LAssociation Rêves a été créée le 5 février 1994 par Christophe CHARLET, suite à lhospitalisation prolongée de lun de ses enfants. Elle sest donnée pour mission de permettre à des enfants atteints dune maladie dont le pronostic est réservé, de réaliser un de leurs rêves les plus chers.
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Quand reprendre les rapports sexuels après la naissance d'un bébé ? Des interdits religieux ou médicaux balisaient autrefois ce domaine : il fallait ou ne fallait pas reprendre la sexualité avant tant de semaines ou de mois. Actuellement chaque couple est laissé seul face à cette question.<o:p></o:p>
Dans les jours et semaines qui suivent la naissance, l'attention de la jeune maman est centrée sur son bébé. Son conjoint garde bien sûr une place très importante mais souvent plus au titre de père que d'amant. <o:p></o:p>
Ne pas précipiter les choses<o:p></o:p>
La sexualité dans un couple ne peut être une obligation, l'activité érotique se vit dans la détente, le partage et le jeu. Un homme (ou une femme) peut vivre sans rapport sexuel, il ne tombera pas malade, même si bien sûr il vit une frustration importante. Cette frustration est plus ou moins facilement acceptée selon les personnes. Si la tension sexuelle est trop forte la masturbation peut être une solution en attendant que le désir sexuel soit présent de part et d'autre. Le couple peut également prendre le temps d'échange de tendresse, de caresses, de massages, sans aboutir comme il en avait l'habitude avant la naissance au rapport sexuel. Ces rapprochements physiques permettent au couple de se sentir proche et favoriseront la reprise d'une sexualité complète quand la femme s'y sentira prête physiquement et psychiquement.<o:p></o:p>
Bien sûr la sexualité peut reprendre dès que le couple le désire<o:p></o:p>
- L'épisiotomie cicatrise en 5 jours, des soins sont parfois nécessaires pendant 10-15 jours mais passé ce délai tout doit être rentré dans l'ordre ; <o:p></o:p>
- Il ne faut pas oublier la contraception, une nouvelle grossesse est possible avant le retour de couche (premières règles qui surviennent après l'accouchement). Si la femme allaite la fécondité est moindre mais une grossesse est aussi possible ;<o:p></o:p>
- Si la femme allaite, lors de l'excitation sexuelle ou de l'orgasme, une émission de lait peut se produire. Une tétée quelques temps avant la rencontre sexuelle évitera ce problème. Dans ce cas également la lubrification est parfois moins intense et plus longue à se produire, l'utilisation par le couple d'un gel lubrifiant permet alors d'améliorer le confort ;<o:p></o:p>
- Le vagin même s'il a été distendu pendant l'accouchement, reprend vite sa forme et son élasticité. La rééducation périnéale renforcera la musculature autour du vagin.<o:p></o:p>
Ce que nous disent les statistiques <o:p></o:p>
- Une fois sur deux les rapports sexuels reprennent uniquement à la demande de l'homme ;<o:p></o:p>
- 20 % des couples ont repris une activité sexuelle un mois après la naissance ;<o:p></o:p>
- La sexualité reprend pour la majorité des couples sept semaines après l'accouchement.<o:p></o:p>
Ce qui le plus souvent motive la non-reprise des rapports sexuels<o:p></o:p>
- La fatigue est un élément important. La sexualité ne peut s'épanouir que lorsque les besoins vitaux sont assouvis. Le besoin de sommeil prendra la place du désir sexuel si la fatigue est majeure. Les réveils du bébé la nuit, le manque d'aide dans les tâches quotidiennes favorisent la fatigue et le manque de désir sexuel ;<o:p></o:p>
- Les douleurs de la zone périnéale liées à la cicatrisation de l'épisiotomie si elle a été nécessaire. La femme a parfois besoin de regarder, de toucher cette région pour vérifier que rien ne fait mal. Si cet endroit reste douloureux, il faut consulter un médecin. Certaines positions qui sollicitent moins cette zone peuvent être conseillées : la femme est sur son partenaire, l'homme et la femme sont côte à côte ;<o:p></o:p>
- Lorsque l'enfant dort dans la chambre des parents, la peur de le réveiller peut être une entrave à la reprise d'une activité sexuelle épanouissante ;<o:p></o:p>
- Le changement de statut social et familial surtout lors de la naissance d'un premier enfant. Ce changement important peut perturber l'un ou l'autre des conjoints. Le couple d'amants est devenu couple parental. Comment la sexualité se vit-elle dans ce nouveau couple, dans cette nouvelle vie familiale ?<o:p></o:p>
- La prise de poids est fréquente après une grossesse. Parfois la femme rejette ce nouveau corps, ne se sent pas désirable et se refuse le plaisir sexuel. Il faut sans doute dans ce cas mettre en place un régime nutritionnel adapté qui permettra de perdre les kilos superflus. Mais en attendant la perte de poids, pourquoi se priver de sensations sexuelles ? Le plaisir sexuel n'est pas réservé qu'aux jeunes gens "sveltes et beaux" !<o:p></o:p>
Si les problèmes persistaient, peut être étaient-ils déjà présents de manière latente avant la naissance. Dans ce cas, le couple s'il en éprouve le besoin consultera un sexologue. Mais rassurez-vous, il est très rare que de réels problèmes sexuels débutent spontanément après une naissance. Prenez le temps de renouer avec votre corps, d'éprouver du désir. Mais ne laisser pas des non dits s'installer dans votre couple. Parlez en avec votre partenaire.<o:p></o:p>
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La grossesse peut poser quelques problèmes lors des rapports sexuels. Les amants doivent tenir compte de deux phénomènes : le gonflement des seins, qui peut les rendre sensibles, voire douloureux et le ventre arrondi. Nos conseils pour des câlins tout en douceur malgré les rondeurs.<o:p></o:p>
La position du missionnaire devient vite désagréable, sauf tant que l’homme peut, en portant son poids sur ses avant-bras ou sur ses bras, ne pas appuyer sur les seins de la femme (quelquefois, il faut même éviter de simplement les toucher).<o:p></o:p>
Pour ne pas risquer de faire mal, autant ne pas se mettre au-dessus : la femme allongée sur le dos plie les jambes ; l’homme (allongé sur le côté perpendiculairement à la femme) glisse son bassin sous elles afin de se placer pour la pénétration. Il courbe son buste afin de se rapprocher et pouvoir caresser le corps de sa compagne.<o:p></o:p>
Cependant, au bout de quelques mois, certaines femmes ne peuvent pas rester allongées sur le dos sans être très gênées. <o:p></o:p>
Dans la position en équerre ci-dessus, des oreillers ou des coussins sous la tête et sous les épaules suffisent longtemps à éliminer l’inconfort. Mais si la gêne persiste, il reste à la femme à se mettre sur le côté ou à quatre pattes.<o:p></o:p>
Sur le côté, la position est celle des "petites cuillères" où l’homme est allongé dans le dos de la femme, qui se niche donc contre lui. L’utérus alourdi par le bébé ne pèse pas sur l’estomac, l’homme est libre de ses caresses, mais, bien sûr, l’inconvénient de cette position persiste, et la femme ne peut elle-même ni caresser ni enlacer son partenaire.<o:p></o:p>
Il en est de même quand elle est à quatre pattes. Toutefois, l’absence de douleur du dos et la position plus favorable du vagin rendent cette position très désirable. <o:p></o:p>
La caresse clitoridienne ou le jeu avec le serrage des muscles pelviens compensent l’impossibilité du frottement des pubis.<o:p></o:p>
En somme, il est indéniable que la grossesse perturbe la mobilité physique de la femme. Mais il serait dommage de ne pas rechercher des solutions adaptées en testant des positions différentes, car le plaisir sexuel et l’orgasme contribuent au bien-être corporel et psychique de la femme, donc de l’enfant qui grandit en elle.<o:p></o:p>
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