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Par mariage de star le 31 Mars 2007 à 13:11
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L'expression « grossesse à risque » fait peur mais parfois à tort. Elle a été adoptée par le corps médical pour différencier les grossesses traditionnelles de celles qui nécessitent un suivi plus important. Des précautions s'imposent donc mais inutile de paniquer
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Grossesses gémellaires :<o:p></o:p>
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Ce sont celles qui représentent le plus grand risque. Ces grossesses ont généralement lieu après un traitement contre l'infertilité. Ici, la logique est mathématique : deux bébé nécessitent deux fois plus d'attention.
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Grossesses tardives ou très jeunes mamans :<o:p></o:p>
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Après 40 ans, la grossesse nécessite une attention toute particulière. Mais si les grossesses tardives représentent un certain risque, celles des très jeunes mamans n'ont rien à leur envier. Dans un contexte favorable, qui associe soutien et compréhension, la grossesse a de fortes chances d'être correctement contrôlée avec l'aide de l'entourage.
Par contre, lorsque le contexte familial est défavorable, des complications, liées à une mauvaise prise en charge médicale, peuvent surgir. Les visites prénatales irrégulières et une hygiène de vie mal équilibrée favorisent une grossesse difficile.
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Grossesses antérieures difficiles :<o:p></o:p>
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Un avortement, un accouchement par césarienne ou encore un accouchement prématuré sont des facteurs de risques pour la grossesse suivante. Ils sont obligatoirement pris en compte pour le prochain accouchement. Soutien psychologique et suivi médical plus régulier sont obligatoires.
Le nombre de grossesses antérieures n'est pas non plus à négliger. Généralement la quatrième grossesse fait l'objet d'attentions plus importantes. Le risque de présentation anormale est augmenté pour une raison simple : l'utérus a perdu de sa tonicité et se contracte plus difficilement. L'accouchement peut très vite se compliquer dans ses conditions.
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Maladies associées à la grossesse.<o:p></o:p>
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Certaines maladies comme le diabète, l'hypertension artérielle ou lépilepsie sont aussi des complications à ne pas négliger. Elles nécessitent un traitement médicamenteux particulier en parallèle de la grossesse qui rend obligatoire un suivi par le généraliste.
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Une surveillance accrue.<o:p></o:p>
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Des examens médicaux plus fréquents et une surveillance médicale de préférence avec un gynécologue obstétricien sont le fondement d'un bon contrôle médical pour les grossesses à risque. Les échographies peuvent se multiplier, un doppler peut être également prescrit pour vérifier si le flux sanguin entre la maman et le foetus est correctement assuré notamment par les vaisseaux du cordon.
Le monitoring qui permet d'apprécier le rythme cardiaque du bébé et l'amniocentèse pour diagnostiquer d'éventuelles anomalies chromosomiques sont également des examens pratiqués pour ce type de grossesses. Ces examens ne sont évidemment pas tous nécessaires et demander l'avis du spécialiste qui suit votre grossesse est un signe de bon sens.
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