• Depuis le début des années 90, le nombre de bébés victimes de mort subite a baissé considérablement, et cela grâce à de nouvelles habitudes de couchage. Reste aujourd'hui à réduire la consommation de tabac pendant la grossesse.<o:p></o:p>


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    Coucher son bébé sur le dos: indispensable!<o:p></o:p>

    Si l'on a cru longtemps qu'il valait mieux coucher les bébés sur le ventre, c'est parce que l'on pensait éviter ainsi l'obstruction des voies aériennes par une éventuelle régurgitation. Aujourd'hui, on sait que l'immaturité des fonctions respiratoire et cardiaque est en cause. Celle-ci persiste plusieurs mois puisque l'horloge interne des centres nerveux de commande se règle très progressivement. C'est surtout entre 2 et 4 mois que votre bébé est très fragile. Si votre nourrisson est couché à plat ventre, il inspire un air confiné, celui qu'il a rejeté à l'expiration. Son thorax est gêné pour se déployer. Pour peu qu'il soit engoncé dans un drap ou que l'atmosphère soit surchauffée, tous les facteurs se renforcent pour entraver la bonne oxygénation de ses centres de commande. Dans cette position, donc, un bébé immature qui fait déjà de grandes pauses respiratoires est encore plus sensible ! Voilà pourquoi vous devez appliquer à la lettre les consignes de couchage. <o:p></o:p>

    Le tabac largement mis en cause<o:p></o:p>

    Le risque de mort subite du bébé est divisé par 4 si vous arrêtez de fumer pendant votre grossesse. Car chaque bouffée de tabac parvenant au placenta diminue le flux sanguin à travers le cordon ombilical. Le foetus, moins bien irrigué, aura des poumons moins développés et des centres nerveux commandant la respiration plus immatures. Pendant les premiers mois après la naissance, la respiration du bébé, encore irrégulière, risque alors de faire des pauses irréversibles. On sait maintenant que la nicotine agit sur la maturité du tissu pulmonaire lui-même, ainsi que sur les neurones. Pas étonnant, dans ces conditions, que le nourrisson d'une mère fumeuse soit plus exposé à la mort subite. <o:p></o:p>

    Rester le plus vigilant possible<o:p></o:p>

    L'atmosphère enfumée est bien sûr nocive pour les bébés, même si cette pollution domestique prédispose surtout à la bronchiolite et à l'asthme. Mais les autres facteurs de risque doivent être présents à notre esprit. Car si le succès des campagnes de prévention est à mettre sur le compte du couchage sur le dos, on peut dire qu'elles ont rendu médecins et parents plus attentifs. <o:p></o:p>

    Ainsi, vous êtes nombreux à vous inquiéter lorsque votre bébé régurgite, a le nez pris... Et les médecins sont toujours soucieux de faire la différence entre les petits troubles habituels et les prémices d'un malaise grave. On n'a d'ailleurs jamais autant traité les reflux gastro-oesophagiens, vérifié les petits estomacs, fait des enregistrements du rythme respiratoire. Et peut-être, c'est vrai, en fait-on parfois trop. Mais cette anxiété des mamans et des médecins est l'une des raisons, aussi, du nombre de bébés sauvés. Cultivons donc notre vigilance !<o:p></o:p>


  • Votre tout-petit refuse d'aller se coucher ? Il a du mal à s'endormir ? Il fait des cauchemars ? Voici toutes les réponses aux questions que vous vous posez.<o:p></o:p>


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    Faut-il être strict sur l'heure du coucher?<o:p></o:p>

    Dans une certaine mesure, oui, car un tout-petit a besoin d'horaires réguliers. Attention cependant à ne pas être trop rigide. Fixez-vous plutôt une tranche horaire, par exemple entre 20 et 21 heures, à adapter selon son âge et les circonstances. Cela vous évitera certains soirs de batailler pour envoyer votre enfant au lit à 20 h 30 tapantes et d'essuyer une grosse colère. Gardez en tête qu'il y a des petits et des gros dormeurs et repérez dans quelle catégorie se range votre enfant. Vos principes vous soufflent qu'il se couche trop tard ? S'il se lève chaque matin à l'heure dite, frais et dispos, c'est qu'il a eu son compte de sommeil ! <o:p></o:p>

    Comment l'amener à bien dormir?<o:p></o:p>

    L'heure précédant le coucher est capitale. Quel que soit l'âge de votre enfant, le dîner n'est pas un moment où l'on règle ses comptes (c'est valable aussi entre parents!). Bien au contraire, c'est l'heure de la détente et du partage. Evitez les activités trop excitantes (une course poursuite à travers l'appartement avec papa), et les séances de télé (pas d'épisode d'Urgences par exemple). Ne l'interrompez pas brutalement dans ses jeux mais informez-le un peu à l'avance que l'heure du coucher approche. Dites-lui: «Dans dix minutes, tu vas au lit.» L'idéal est qu'il ait une activité calme dans sa chambre. Enfin, n'exigez pas que celle-ci soit impeccablement rangée. C'est très rassurant pour lui que son monde (ses jouets, ses peluches) demeure à l'identique de la journée. Il ne dort pas dans un musée! <o:p></o:p>

    Pourquoi le rituel du coucher est-il indispensable?<o:p></o:p>

    Dormir, c'est mourir un peu. Et ça fait peur ! Le rituel du coucher est un moment privilégié car il représente un sas entre le jour et la nuit et atténue l'épreuve de la séparation. Vous êtes - vous ou son papa - tout à lui et c'est très important ! Cela le rassure, un peu comme si vous lui donniez votre bénédiction et lui disiez: «Tu peux dormir tranquille, papa et maman sont à côté.» C'est aussi une pause tendresse, l'occasion de lui lire son histoire préférée ou qu'il vous raconte son gros chagrin de la journée. Ne sautez pas cette étape sous prétexte d'une urgence quelconque. Lorsque le parent qui a l'habitude de lire l'histoire du soir est absent, qu'il prenne la précaution de l'enregistrer sur une cassette, suggère notre spécialiste. La magie opérera de la même façon, l'absent sera présent par la voix. <o:p></o:p>

    La sieste peut-elle l'empêcher de s'endormir le soir?<o:p></o:p>

    Cela arrive parfois entre 3 et 6 ans, quand elle tend à disparaître. Parce qu'elle a été trop longue (plus de deux heures) ou trop tardive dans l'après-midi (réveil après 16 h 30). Mais encore une fois, tout dépend de votre enfant et de ses habitudes. Certains ont besoin de faire la sieste et se couchent sans problème le soir venu. Pour d'autres, c'est le contraire... Ils n'auront absolument pas sommeil! N'en faites pas un passage obligé le week-end et signalez-le à la maîtresse. En revanche, si votre enfant est fatigué (il bâille, geint, pleurniche pour un oui ou pour un non) et ne tient plus debout dès 19 heures, mettez-le au lit immédiatement. Il n'a pas dîné et n'a pas fait sa toilette? Cela n'a aucune importance. Ça peut attendre demain. <o:p></o:p>

    Faut-il l'autoriser à se relever s'il n'arrive pas à s'endormir ?<o:p></o:p>

    Bien sûr. Un événement quelconque a pu perturber le déroulement de sa journée: il s'est disputé avec un copain, sa maîtresse l'a réprimandé... Qui d'entre nous n'a pas cherché en vain le sommeil après un différend avec son patron? Votre enfant a peut-être tout simplement besoin d'un câlin dans les bras de son papa ou de sa maman. Vous pouvez en tout cas l'autoriser à feuilleter un album pendant quelques minutes. Ensuite, extinction des feux, mais sachez que le sommeil peut se faire attendre deux ou trois heures, le temps de redémarrer un nouveau cycle. Et soyez vigilant(e) car si cela se reproduit trop souvent, peut-être votre enfant vous envoie-t-il un message à décrypter. Faites-le avec l'aide de votre pédiatre. <o:p></o:p>

    Pouvez-vous le réveiller au dernier moment?<o:p></o:p>

    Non, dix minutes en plus ou en moins ne feront pas la différence. Il n'y gagnera que du stress. Calculez le temps nécessaire à un réveil en douceur, ajoutez quelques minutes pour le débarbouillage et l'habillage (avec ou sans votre aide) et un bon quart d'heure pour le petit déjeuner, assis à table, avec vous. Le tout en évitant la précipitation... Voilà une journée qui commence bien. <o:p></o:p>

    Quel rythme adopter le mercredi et le week-end?<o:p></o:p>

    Le mercredi, gardez les mêmes horaires de lever et de coucher que le reste de la semaine. En revanche, le week-end (hormis le dimanche soir, vous pouvez être un peu plus souple. Le plus important est que votre enfant suive le rythme de la maisonnée et puisse profiter de ses parents plus libres et détendus. Il se couche plus tard ? Il fera la grasse matinée samedi et dimanche matin s'il en éprouve le besoin. Bien sûr, veillez à ce que l'écart ne soit pas grand entre la semaine et le week-end : sauf exception, ne le laissez pas veiller jusqu'à minuit ni dormir le lendemain jusqu'à midi. <o:p></o:p>

    Il dort de plus en plus mal, un somnifère peut-il l'aider?<o:p></o:p>

    Jamais de la vie ! Non seulement c'est dangereux à long terme (votre enfant aurait du mal à s'en passer ensuite), mais c'est inefficace la plupart du temps. Il ne supprimera pas les causes de son insomnie. Les somnifères sont une drogue, au même titre que l'alcool et la cigarette ! Seul votre médecin peut prescrire un somnifère, s'il le juge nécessaire, pour un temps bref. Si votre petit dort mal nuit après nuit, parlez-en à votre pédiatre qui vous orientera, si besoin, vers un spécialiste des troubles du sommeil ou vers un psychologue<o:p></o:p>

    Depuis quelques jours, il fait des cauchemars. Comment réagir ?<o:p></o:p>

    Se rendre compte qu'on a des images dans la tête et s'en souvenir au petit matin, ça fait peur quand on n'a pas l'habitude. A partir de 3 ans, les cauchemars sont assez fréquents mais l'école est rarement en cause. Ils ont plutôt pour origine les horribles histoires de loups ou de sorcières que les tout-petits adorent au demeurant. Et entre 3 et 6 ans, ils sont en plein complexe d'-dipe: ils doivent lutter pour réprimer leurs pulsions à l'égard du parent de sexe opposé. La première chose à faire est de les rassurer quand les cauchemars surviennent. Et laissez-les vous les raconter le lendemain, cela permet aussi de dédramatiser. <o:p></o:p>

    Changer de lit peut-il avoir des conséquences sur son sommeil ?<o:p></o:p>

    Oui, surtout si ce changement est dû à l'arrivée d'un nouveau bébé dans la famille. Un lit de grand le valorise, certes, mais l'inquiète aussi... C'est difficile de grandir et de céder sa place à plus petit que soi ! Pour tous, enfants comme adultes, le lit représente un cocon, un espace personnel qu'il faut s'approprier et dans lequel on doit se sentir en confiance pour s'abandonner sereinement au sommeil. En conclusion, évitez de changer votre enfant de lit au moment de la rentrée. Chaque chose en son temps. <o:p></o:p>

    Il ne tient plus debout mais fait la comédie pour aller se coucher...<o:p></o:p>

    Etes-vous bien sûre de ne pas faire du lit une contrainte ou une sanction ? Méfiez-vous de ces expressions qu'on utilise régulièrement : « Si tu n'es pas sage, tu vas au lit ! » ou « File dans ta chambre, que je ne te revoie plus »... Montrez-lui au contraire qu'aller se coucher est un vrai plaisir et une nécessité pour être en pleine forme le lendemain. Faites de son lit un endroit agréable. En plus de son doudou, s'il a envie de dormir avec un jouet ou une peluche au bout du lit, pourquoi pas ? <o:p></o:p>

    Ils dorment dans la même chambre. Est-ce gênant si l'aîné se couche plus tard que son petit frère?<o:p></o:p>

    Non. D'autant plus que, compte tenu de l'exiguïté des appartements en ville, vous n'avez probablement pas le choix et vos enfants non plus ! Il suffit d'expliquer au plus petit - qui se couche en principe plus tôt - qu'il a besoin de plus de sommeil (ce n'est pas toujours vrai) que son frère. Les enfants doivent comprendre qu'ils sont égaux mais pas identiques : ils n'ont pas les mêmes privilèges à 4 ans et à 8 ans. <o:p></o:p>

    Est-il vrai que les enfants qui dorment peu sont plus petits ?<o:p></o:p>

    Nombreux sont les parents à poser la question à leur pédiatre et à s'inquiéter à tort. Car s'il est vrai que l'hormone de croissance sécrétée par l'hypophyse est produite pendant certaines phases de sommeil, une heure de plus ou de moins ne changera pas grand-chose. Pour que cela retentisse sur sa taille (qui est plus question d'hérédité), il faudrait vraiment qu'un enfant ait de gros problèmes de sommeil. Et si c'est le cas, il doit être suivi par un spécialiste. <o:p></o:p>


  • A quel âge fera-t-il ses nuits ? Faut-il acheter une veilleuse ? Comment l'aider à s'endormir ? Tous les jeunes parents se posent ces questions...<o:p></o:p>


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    A quel âge fera-t-il ses nuits ?<o:p></o:p>

    Difficile de répondre. Certains bébés - ils sont rares - dorment une bonne partie de la nuit à 1 mois, d'autres n'y parviendront que quelques semaines plus tard. Chaque enfant est différent, ses temps de sommeil aussi, et mieux vaut être patiente. <o:p></o:p>

    Des plages de sommeil
    A sa naissance et pendant ses premières semaines, le bébé nage en plein décalage horaire. Tout juste débarqué de sa planète utérine, il n'a pas encore intégré nos rythmes de vie. Il dort par plages de trois ou quatre heures (chaque cycle de sommeil dure une heure à une heure et demie), réparties tout au long des 24 heures sans se soucier du reste. L'alternance du jour et de la nuit, il ne connaît pas encore !

    Il a faim
    Des raisons physiologiques le poussent également à se réveiller régulièrement: le besoin de téter mais aussi la baisse du taux de sucre dans son sang qui le fait crier famine... Rendez-vous compte qu'il est passé d'une alimentation continue (via le cordon ombilical) à une alimentation discontinue, au coup par coup! Voilà pourquoi il lui faut plusieurs semaines, parfois quelques mois, pour s'adapter à ce bouleversement de vie.

    Reconnaître le jour et la nuit
    Inutile donc de vouloir accélérer les choses, elles se feront naturellement et votre bébé donnera le tempo. Cependant, vous pouvez l'aider à s'habituer à l'alternance jour/nuit en le faisant dormir dans la journée sans fermer les volets ni faire le silence total autour de sa chambre. Autre conseil, la nuit, ne vous lancez pas dans des gazouillis interminables avec lui... Il comprendra ainsi que l'activité sociale est réservée à la journée et le repos à la nuit.

    Par ailleurs, sachez qu'au début de chaque cycle de sommeil (toutes les heures donc), votre bébé s'agite, fait des grimaces ou pleure un peu. C'est normal. Si vous le prenez dans vos bras à ce moment-là, vous perturbez son sommeil et reculez ce moment tant attendu: celui où votre tout-petit dormira enfin - et vous aussi - une bonne partie de la nuit !<o:p></o:p>

    A partir de quel âge peut-il dormir dans sa chambre ?<o:p></o:p>

    Dès qu'il est sorti de la maternité, un bébé peut intégrer sa chambre, si les parents se sentent suffisamment en confiance. En effet, avec les appareils de surveillance (écoute-bébé), tous les bruits sont transmis d'une pièce à l'autre et les parents peuvent à tout moment intervenir en cas de nécessité. <o:p></o:p>

    Certains pourtant, persuadés que leur bébé est trop petit pour rester seul, ont besoin de le garder près d'eux (jusqu'à 3-6 mois). C'est donc à vous d'accepter progressivement l'idée de cette petite séparation. Mais attention, plus longtemps il restera dans votre chambre, plus il sera difficile, pour vous comme pour lui, de l'installer dans la sienne.<o:p></o:p>

    Devez-vous acheter une veilleuse ?<o:p></o:p>

    A sa naissance, votre bébé n'en a nul besoin. A peine sorti du ventre maternel, il doit s'habituer à l'alternance jour/nuit avant de trouver son rythme. Cela lui prend entre trois et six mois. Ensuite, pourquoi utiliser une veilleuse s'il dort chaque nuit du sommeil du juste? Elle risque de créer un vrai besoin chez votre tout-petit, qui ne pourra plus s'en passer. En revanche, en cas de trouble du sommeil, elle peut contribuer à ce que votre enfant s'endorme plus calmement. <o:p></o:p>

    Un écoute-bébé est-il nécessaire ?<o:p></o:p>

    Dans un appartement, ce n'est pas vraiment utile. Si votre bébé pleure, vous l'entendrez. Il n'est pas toujours bon de vous précipiter dans sa chambre au moindre cri et gémissement car vous l'empêchez alors de s'endormir! En revanche, si vous habitez une grande maison ou si vous avez un jardin, par exemple, l'écoute-bébé est pratique et vous permet de vaquer à vos occupations en toute tranquillité. <o:p></o:p>

    Comment l'aider à s'endormir ?<o:p></o:p>

    Paroles douces et caresses représentent les prémices du rituel du coucher auquel votre enfant restera attaché longtemps. <o:p></o:p>

    - Dès le début, différenciez les "petits" couchers de la journée du "grand" du soir, en le valorisant. Et dites-lui bonne nuit, deux mots qu'il identifiera bientôt.

    - Après ces préliminaires, laissez-le s'endormir seul et non pas systématiquement dans vos bras.

    - Dissociez les moments de câlins et d'éveil de l'endormissement.

    - S'il se met à pleurer franchement une fois couché, rassurez-le à voix basse, chantez une berceuse et caressez-lui le front sans le sortir de son berceau.

    - Si vous l'allaitez, limitez au maximum votre consommation d'excitants (alcool, café, tabac, etc.) qui agissent sur le système nerveux de votre bébé et sur le vôtre.<o:p></o:p>


  • Jusqu'à l'âge d'un an, votre tout-petit dort plus de 15 heures par jour. Voici tous nos conseils pour l'aider à passer de douces nuits.<o:p></o:p>


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    Choisissez le lit idéal<o:p></o:p>

    Préférez un lit à barreaux, avec un matelas que l'on peut placer en position haute ou basse. Ce dernier doit être ferme, et adapté aux dimensions exactes du lit afin de ne laisser aucun espace où votre enfant risquerait de se coincer. Jusqu'à deux mois, vous pouvez le coucher dans un cale-bébé ou un réducteur (en vente dans les magasins spécialisés). Et avant 2 ans, oreiller, couette et couverture sont à proscrire. <o:p></o:p>

    Le conseil de famili
    Les deux ou trois premiers mois, le matelas placé en position supérieure permet de coucher votre bébé en douceur et de lui faire un câlin sans vous faire mal au dos.<o:p></o:p>

    Préparez-lui un nid douillet<o:p></o:p>

    Choisissez toujours une housse de matelas 100% coton, qui ne le fera pas transpirer. Pour la protéger des régurgitations, bordez correctement une couche en tissu au niveau de la tête. Installez un tour de lit, en attachant bien les liens. Il se sentira ainsi moins perdu dans cet espace trop grand pour lui, et sera plus confortablement installé. Vous pouvez aussi lui donner une ou deux peluches, à condition de pouvoir les laver. Mais si, dans votre famille, il existe un terrain allergique mieux vaut s'en passer. <o:p></o:p>

    Le conseil de famili
    Changez les draps tous les trois jours et aérez le matelas chaque semaine. Pour éliminer les acariens des peluches, faites-leur passer une nuit au congélateur, c'est radical.<o:p></o:p>

    N'oubliez pas son mobile<o:p></o:p>

    Un bébé passe beaucoup de temps dans son lit. Il est attiré par les couleurs et par tout ce qui bouge. Le mobile l'occupe et contribue à son éveil. <o:p></o:p>

    Le conseil de famili
    Quand votre enfant sera un peu plus grand, les mouvements du mobile et la mélodie de la berceuse l'aideront à mieux s'endormir.<o:p></o:p>

    Ne le couvrez pas trop<o:p></o:p>

    En hiver, un body, une grenouillère et une turbulette (ou gigoteuse) suffisent largement. En été, enlevez la turbulette. <o:p></o:p>

    Le conseil de famili
    Il existe des modèles de turbulettes déhoussables, avec un molleton amovible, donc adaptés à l'hiver comme à l'été.<o:p></o:p>

    Gardez sa chambre à bonne température<o:p></o:p>

    Elle ne doit pas dépasser 19 °C car un bébé ne sait pas se défendre contre le froid ni contre le chaud. Installez son lit loin de toute source de chaleur et humidifiez l'air en posant un bol d'eau sur le radiateur. <o:p></o:p>

    Couchez-le sur le dos<o:p></o:p>

    Installez toujours votre bébé à plat, sur le dos. Son visage est bien dégagé, ce qui facilite sa respiration et l'apport en oxygène. Toutes les études prouvent en effet que cette position est la plus efficace pour prévenir la mort subite du nourrisson. <o:p></o:p>

    Le conseil de famili
    Pour l'aider à faire la différence entre le jour et la nuit, faites-le dormir le soir dans l'obscurité, en fermant les volets ou les rideaux. La journée, vous les laisserez ouverts.<o:p></o:p>


  • Etape par étape, voici comment habiller votre tout-petit en douceur et dans la bonne humeur.<o:p></o:p>


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    Le body<o:p></o:p>

    D'abord la tête et les bras...
    Allongez votre enfant sur la table à langer. Avec les deux mains, écartez l'encolure du body et passez-le de l'avant vers l'arrière en soulevant doucement la nuque de votre petit. Puis enroulez chaque manche, passez-y deux doigts. Attrapez sa manche et enfilez une manche après l'autre. Déroulez le body sur la poitrine.
    Le conseil de famili : Achetez de préférence des bodies à emmanchures américaines, dans un tissu extensible. <o:p></o:p>

    Ensuite le buste...
    Soulevez légèrement d'une main votre bébé et, de l'autre, déroulez le body sur son ventre et sous ses fesses.
    Le conseil de famili : Si vous sentez que votre bébé s'impatiente, parlez-lui tout en faisant un petit câlin.

    Et enfin l'entrejambe
    Tirez le bas du body sur le ventre et sous les fesses. Ajustez-le et fermez les pressions.
    Le conseil de famili : Lissez bien le tissu avec le plat de la main pour éviter les plis, très inconfortables.<o:p></o:p>

    Le pull<o:p></o:p>

    Comme pour le body, passez d'abord le col puis les manches, en veillant toujours aux plis dans le dos et sur les épaules. <o:p></o:p>

    Le conseil de famili
    Préférez toujours des modèles qui se pressionnent sur le côté. Plus l'ouverture est grande, plus la tête passe aisément.<o:p></o:p>

    Les chaussettes<o:p></o:p>

    Enroulez les chaussettes comme un bas. Enfilez-les d'abord sur le bout de pied puis le talon et la cheville. <o:p></o:p>

    Le conseil de famili
    Evitez les chaussettes dont l'élastique est trop serré, afin de ne pas comprimer le mollet et choisissez-les plutôt larges, confort oblige.<o:p></o:p>